Quelles sont les valeurs de l’éducation ?

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Les valeurs de l’éducation que nous transmettons aujourd’hui serviront de base à leur vie demain…

À leur tour,quandnos enfants seront adultes et parents, ils reproduiront mécaniquement le comportement que nous avons eu avec eux quand ils étaient jeunes. Ecomme nous le faisons aujourd’hui inconsciemment . C’est donc à nous de leur enseigner des valeurs de partage, de l’empathie si utile dans la société.

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Plus nous faisons d’efforts aujourd’hui en tant que parents, et moins nos enfants devront le faire plus tard (et auront donc plus de libertés psychologiques pour développer autre chose).

N’ est-ce pas notre objectif de leur offrir ce que nous pouvons faire de mieux ?

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Les réflexes seraient bien :

  • crier ou frapper quand nous ne pouvons pas faire face à une situation ou nos émotions
  • s’ impatient si nous ne pouvons pas avoir de problème
  • résoudre n’ ont pas confiance
  • être en désordre
  • il n’est pas possible de prendre des décisions
  • manger quand vous vous ennuyez ou vous sentez mal dans notre peau
  • n’ ont aucun sens de l’appétit ou de la satiété
  • etc…

Il peut y en avoir beaucoup d’autres. Si vous ne vous reconnaissez pas dans l’un de ces, dites-moi ce qui vous appartient dans les commentaires.

Quelle est l’origine de ces comportements ?

Vous êtes-vous déjà demandé d’où ça venait ? Eh bien, dès notre enfance.

Les petites habitudes de la vie quotidienne, les liens d’idées que nous présentons à nos enfants, surtout avant l’âge de 6 ans, y sont profondément enracinées. Ils déterminent fortement leur comportement futur.

Il faudra beaucoup d’efforts pour s’en éloigner (certains ne se produiront même jamais). Ensuite, c’est à nous de leur donner de bons réflexes dès les premières années. à donner.

Les valeurs transmises inconsciemment :

  • donner à un enfant une tétine (ou une bouteille d’eau) quand il pleure (douleur ou fatigue) —> donne à un adulte qui mange quand il ne se sent pas bien
  • forcer un enfant à finir son assiette alors qu’il n’a plus faim —> donne à un adulte qui ne reconnaît pas l’appétit et la satiété signale que son corps l’envoie
  • donner un adulte à un enfant qui ne veut plus manger, pensant qu’il n’a pas besoin de faim pour manger du sucre
  • Donnez à un enfant qui vient de tomber granulés doux (homéopathie). Donnez à un adulte qui mange du sucre pour se réconforter. Note : Je ne dis pas que je suis contre l’homéopathie, au contraire, ce qui me dérange est juste de combiner le sucre avec la consolation
  • Souhaitant qu’un enfant cesse de pleurer à tout prix, si elle est lui-même blessé ou si elle évacue une forte émotion, « il y aura un adulte qui repousse ses émotions ». Il ne supportera pas d’entendre son enfant pleurer alternativement.
  • taper sur un enfant -> donne à un adulte tapant sur la résolution de leurs conflits (famille ou autre)
  • stocker à la place de son enfant —> donnera à un adulte qui ne sait pas comment stocker ses choses parce qu’il sera stocké pour lui-même
  • Remplacez immédiatement un objet si l’enfant le casse —> il y a un enfant qui n’apprend pas les conséquences naturelles de ses actions. Un adulte qui ne sait pas comment prendre soin de son entreprise
  • décider tout au lieu de son enfant (vêtements, activités,..) —> donnera un adulte qui ne sait pas comment prendre des décisions

Nous pourrions continuer la liste pendant longtemps, mais je pense que vous avez compris le principe et le problème !

Nous suivons les traces de nos parents. Nos enfants feront la même chose !

êtes-vous déjà demandé ce que Georges W. Bush ou Nelson Mandela ont vécu dans leur enfance ? Vous

D’ un passé complètement différent, je vous assure…

C’ est donc à nous aujourd’hui de prendre conscience de notre pouvoir et de leur transmettre les valeurs qui nous correspondent.

Honnêtement, tout le monde n’a pas rêvé de nous éloigner de ces réflexes un jour qui nous poussait à agir contre notre volonté ? Parce que je vous assure que je n’ai pas manqué la règle…

Quelles sont les valeurs de l’éducation positive ?

  • le respect
  • sécurité
  • confiance
  • Écouter
  • bienveillance

Quelles sont les étapes pour soumettre les valeurs correctes ?

1. Je plaide à « non coupable »

La première étape très importante de tout ce processus est de ne pas être trop dure avec nous .

Ne soyez pas coupable si vous ne pouvez pas mettre les points que je vais vous dire en pratique.

Vous êtes humain et vous avez vos limites.

Parfois, ils sont atteints et à ces moments, il vous sera difficile de revenir : ce n’est pas sérieux .

La chose la plus importante est qu’il est possible de se recentrer. Ensuite, expliquez à notre enfant la raison de notre comportement : trop de fatigue, de stress, de maux de tête, de faim,…

Il comprendra et se sentira plus libre d’avoir des débordements émotionnels sans dégrader la situation.

Regardez vos progrès, pas le chemin restant.

EIN études américaines ont prouvé que la lecture Des textes (livres, blogs ou autre) sur la bienveillance des parents ont déjà changé le comportement des parents.

Ce que vous faites en ce moment fait partie du chemin. La chose la plus importante est de faire « du mieux que nous pouvons » tous les jours. Cela inclut tous les paramètres environnants (passé, fatigue, stress, contexte,…).

Je ne cache pas que le chemin peut être long, selon où vous allez.

Laissez-vous guider par l’amour que vous avez pour vos enfants. Restez connecté aux valeurs qui vous sont proches de votre cœur .

Je suis sûr que tu y arriveras.

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Les neurones miroir sont très puissants chez l’enfant, il est important de lui montrer un exemple.

Si nous, adultes, ne maîtrisons pas les émotions, comment pouvons-nous lui demander de le faire ? Avec seulement 50% de maturité cérébrale (pour un enfant à partir de 4 ans)…

Voici un exemple de comportement constructif que vous pouvez avoir :

« Je suis très en colère que vous m’ayez frappé avec le balai parce que j’avais une poêle à frire dans ma main et je me suis brûlé. Je souffre beaucoup. Mais je ne suis pas censé te frapper. »

Note : Je n’ai jamais frappé mes enfants, mais j’admets que ça m’a démangeaisons ce jour-là à cause de la douleur intense.

« Pouvez-vous penser à ce que vous venez de faire et trouver une solution pour que je ne me fâche plus ?

 » Note : Expérience vraiment vécue avec Jules (2 ans), j’ai brûlé la moitié de la main…

Si j’avais battu mon fils ce jour-là sous le coup de la colère et de la douleur, quelle valeur lui aurais-je transmise ?

Prenons le premier pas pour leur montrer, par exemple, ils vont bientôt nous imiter…

3. Évacuation de la tension

Crite ouais, de toute façon .

Si on doit crier pour évacuer la tension, c’est sain. Si on crie sur le gamin, c’est un peu moins comme ça. Pour vous aider, il y a quelque chose qui fonctionne très bien, en mots sur ce que nous ressentons :

« J’ai le sentiment que la colère vient et je veux vraiment crier pour la laisser sortir. » A ce moment, vous pouvez faire un bon cri, mais pas destiné à personne .

La valeur que vous lui transmettez en ce moment est « il est sain d’exprimer vos émotions »/« une personne n’a pas à souffrir »

L’ enfant sera en mesure de bien comprendre ce que vous ressentez, et dès que le cri sort, vous pouvez rendre le dialogue beaucoup plus détendu.

On a tendance à croire que dans une éducation bienveillante, la colère ou l’envie de crier est bannie. C’ est mal !

C’ est bien que les ennuis peuvent causer , mais vous devez juste faire attention à la façon dont nous le faisons.

4. Respecter

Seul l’enfant lui-même peut savoir si son corps a faim ou endormi. Le respect de ces signaux physiologiques est fondamental pour une vie adulte équilibrée !

  • Repas

le forcez jamais à manger Ne (finissez son assiette en principe), s’il nous dit clairement qu’il est plein, ne le laissez pas s’endormir de l’épuisement quand il nous dit qu’il ne dort pas.

Soit dit en passant, à l’âge de 2 ans, il y a trois phénomènes qui ont un fort impact sur les habitudes alimentaires de l’enfant et qui peuvent être une source de conflit si vous n’en êtes pas conscient :

1. Le premier phénomène est que l’enfant a moins de besoins. La quantité absorbée diminue fortement par rapport aux mois précédents. Fais-lui confiance quand il nous dit qu’il n’aura pas faim s’il ne mangeait que 4 cuillères.

2. Le deuxième phénomène est que les papilles gustatives se développent et que la sensibilité au goût est exacerbée. Période au cours de laquelle il est très fréquent que les enfants ne veulent manger que des aliments neutres dans le goût  ! !

Soyons patients, ne le transformons pas en une entreprise personnelle et offrez-lui régulièrement d’autres aliments pour le temps (environ 6 mois).

N’ installez pas de chantage ou de rapport de puissance, sinon cela prendra beaucoup plus de temps. Autour 6/7 ans le terme néophobie alimentaire adoptera (l’enfant ne veut rien de nouveau).

3. Le troisième phénomène est que les enfants de cet âge mangent très « intellectuellement ».

Vous serez plus souvent intéressé par les choses qui font discover est considéré comme étant sur le contenu de votre assiette. Pardonnons et laissez-le manger, par exemple, en jouant ou en vélo, il aura le temps d’apprendre à manger à la table plus tard 😉

  • Sommeil

En ce qui concerne le sommeil, il est très fréquent pour nous de changer le temps de s’endormir à 22 heures à l’âge de 2 ans, nous ne pouvons rien faire à ce sujet !

D’ autre part, nous pouvons définir un temps à partir duquel le temps des adultes est (à la maison, par exemple, il est 19:30).

Les enfants, même s’ils ne veulent pas dormir en ce moment, restent dans leur chambre de manière autonome. Laissez une lumière, quelques livres et/ou activités à votre disposition.

S’ il n’est pas d’accord avec cela, proposez un compromis (en fonction des possibilités et de nos croyances) jusqu’à ce que l’enfant trouve son autonomie.

5. Conséquences naturelles

Notre enfant sur le L’attention aux conséquences naturelles de ses actions est une solution très efficace pour lui-même d’ajuster son comportement.

« Si vous ne mangez pas du tout, vous aurez faim et la prochaine prise alimentaire ne sera qu’après le temps calme. Cela peut prendre beaucoup de temps pour attendre jusqu’à ce moment-là.

« Si vous ne ranchez pas les jouets, ils resteront dispersés, nous risquons de marcher dessus, de les endommager et de nous blesser. » Attention, un enfant ne sera pas en mesure de stocker sa chambre seul il y a au moins 5/6 ans ! Voir plus !

Selon la situation, il est difficile d’appliquer ces conséquences naturelles, car l’enfant montrera de l’indifférence ou les conséquences sont trop lointes/dangereuses (se brosser les dents, stockage, danger de chute,…).

Si nous n’essayons pas de lui expliquer les conséquences naturelles de ses actions, il ne pourra pas acquérir la valeur des choses.

Nous devons donc leur faire réfléchir en leur posant des questions. Plus nous demandons leur cortex préfrontal en les interrogeant, plus ils seront conciliants avec les solutions trouvées.

6. Jeux quotidiens

Il n’est plus possible de prouver que le jeu est l’un des symptômes pour les enfants !

De cette façon, ils sont mieux à même de s’exprimer. Alors jouons avec eux à leur manière (même si cela ne nous plaît pas vraiment). Profitons de l’occasion pour les observer pleinement et les écouter, reconnectons et arrêter les conflits seront plus faciles à faire face .

7. Le pouvoir des mots

Si votre enfant a besoin de pleurer pour évacuer son anxiété, sa colère ou sa frustration, il est important qu’il peut ! !

Ne le forcons pas à arrêter de pleurer, il en a besoin ! Tenons-nous juste à côté de lui ou prenons-le dans nos bras et attendons qu’il se calme avant de lui parler à nouveau.

Si vous roulez une balle de tennis sous votre pied, ils peuvent également se reconnecter et se calmer.

  • En cas de colère :

« Vous avez le droit d’être en colère parce que votre sœur a cassé votre poussette, mais vous n’avez pas le droit de la taper. Tu peux lui dire que tu es en colère. »

Notre rôle en tant qu’adulte :

  • Décrire la situation
  • laissez tout le monde exprimer ses sentiments.
  • Promotion de la communication
  • attendre qu’ils trouvent une solution au
  • conflit

  • Pour les petits bobos :

décrire la situation et faire preuve d’empathie.

« Je vois que tu es tombée sur ton genou, je pense que ça doit faire beaucoup de mal. Mais peut-être que vous aviez peur aussi ? T’as vraiment blessé au genou ou avez-vous eu peur ?

 » Pour les plus petits, on peut les calmer en leur montrant qu’on est là. Un contact physique d’au moins 7 secondes déclenche une épidémie d’ocytocine (hormone du bonheur) et soulage la douleur.

En tout cas, cela ne fera qu’aggraver la situation si elle n’est pas dramatisée.

  • En cas de fatigue lourde :

Emmenons-le dans nos bras pour remplir son réservoir émotionnel. S’il commence à se calmer un peu, nous pouvons l’aider à comprendre ce qui se passe en lui.

« vous pleurez parce que vous êtes fatigué (que vous avez faim ou soif..) et que votre cerveau vous fait mal. »

Dès le moment où ses besoins sont satisfaits (faim.soif) et il se sent compris, lui offrir une activité calme (même s’il n’a pas encore complètement calmé).

8. Tout le monde a des besoins

Si nous n’expliquons jamais à nos tout-petits en tant que parents que nous avons des besoins, il est peu probable qu’ils devinent par eux-mêmes. Quelle valeur leur donnons-nous alors ?

Ils nous considèrent tous puissants, inépuisables . S’il y a un besoin, n’hésitez pas à vous rappeler calmement que nous avons aussi nos limites.

Un enfant dont les besoins sont satisfaits quotidiennement est plus enclin à respecter ceux des autres, si nécessaire.

Quels sont les outils pour y parvenir ?

J’ ai préparé un petit cadeau pour remercier les abonnés de mon bulletin et les amener sur le chemin de l’éducation attentive.

Je vais même te donner un Secret trahi : Ce document est un peu magique…

S’ il est utilisé, il s’imprimera dans votre cerveau. Vous pouvez vous en passer tout en conservant lesavantages de sa puissance .

Tous les gens à qui je l’ai recommandé dans mon environnement proche ont été transformés et leurs enfants aussi.

Si nous comparons notre enfant avec une jolie plante :après 6 ans, c’est en quelque sorte le bulbe de la plante qui est en cours de construction et plus il sera sain, plus la plante sera belle… C’ est tout l’avenir de la société qui dépend de cette…

Je vais partager avec vous le cahier de la paternité attentive maintenant. Pour la recevoir, remplissez le formulaire ci-dessous :

Conclusion

Chers parents, dans cet article et le document à télécharger, je vous ai donné beaucoup de clés et d’outils communiqué.

Je l’ai développée à travers ma profession de mère Montessori et éducatrice. Vous m’êtes d’une grande aide chaque jour, j’espère qu’ils vous aideront aussi à transmettre les valeurs qui sont chères à votre tout-petit.

Dites-moi si elles vous aident, votre opinion est très importante pour moi.

Je vous souhaite une belle journée de famille

bizsoon

Cécile

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